Poèmes et pensées de Liseray

Merci ma princesse,

Pour toute ta tendresse
Elle est pour moi la plus belle caresse
Tu sera à jamais dans mon coeur
Avec toi la vie n'est que pur bonheur
Avec toi la vie et une fête
Que jamais je ne regrette
J'aime te voir sourrire à la vie
Ainsi j'oubli tous mes soucis
Tu sera toujours pour moi
La plus belle de mes joies

Bisous, je t'aime

L'accordéon

Toi l'accordéon de notre douce enfance,
Toi qui si souvent nous à bercé de ta plus jolie voix,
Tu étais reine de nos fêtes, tu étais vive et délicate,
Aujourd'hui plus de doigts agiles, pour glisser sur tes accents de fête,
Plus personne pour te faire chanter,
Tu n'a plus envie de jouer, ta voix s'est éteinte à l'aube d'un jour,
Pourtant si proche dans nos coeurs meurtris,
Toi l'enchanteresse de nos joies familiales,
Tu a perdu ton âme joyeuse, plus de vie, plus de musique,
Dans ton coeur, plus rien de toi, si ce n'est ton doux souvenir,
Qui frissonne en nous, comme un vent doux et léger.
Au revoir l'artiste !

Ce poème est dédié à notre père disparu trôp tôt.

Ecrit par Liseray : le 24-04-87

JESSICA

Jeune étoile
Étincelante
Soyeuse et merveilleuse
Sillonnant tous les cieux
Illuminant de tous ses feux
Coeur et
Âme

Ecrit par Liseray : le 20-08-91

Mon amie

Quand la vie te fait souffrir,
Et, que ton cœur t’alarme
N’oublie jamais que tu as une amie,
Quand je regarde le ciel ce soir,
Je cherche en vain l'étoile,
Celle qui te procurera l'espoir.
Moi, je suis là pour te donner un sourire.
Je serais là à chaque instant.
Pour te donner l'Espérance qui donne la force,
Alors, je t'en prie ne pleure plus,
L'avenir commence aujourd'hui.
Si la nuit tes yeux sont en pleurs,
Car oui grande est ta douleur.
Cri ton chagrin dans les mots,
Cri au monde, combien tu aimes la vie.
Et le monde sera splendeur plus que chagrin.
Tu peux te reposer, mais surtout ne pas abandonner.
Le jour viendra, ou tu guerrira, ne désespère pas.
Je voudrais voir la lueur, dans tes yeux,
De savoir que tu peux avoir confiance en moi,
Mon amitié je te l'offre et elle est sincère.

J'écris ce poème pour toi, mon amie "Kathleen"

Mon amie est atteinte d'une maldie dite orpheline

Des mots coulent à flots, comme mes yeux, pleurent une amie disparue.
Mes larmes brûlent mes joues, pourtant je les retient, malgré tout mes efforts, je ne peux les contenir.
Aujourd'hui il ne me reste que les souvenirs, du temps passé avec cette amie, qui aimait tant la vie.
Mon coeur se serre lorsque je pense à elle, la cicatrice est trop grande, pour pouvoir la refermée en un claquement de doigt.
Je ne suis pas magicienne, je ne pourrais pas d'un coup de baguette l'a faire réapparaitre.
Je ne peux qu'espérer que cette douleur s'estompe, comme on efface sur les pages d'un cahier, les mots imparfaits.
Je sais que le temps fera de ce jour noir, un ars-en-ciel, de douceur, ce chemin sera long, j'arriverai à surmonter cette nouvelle épreuve.
Pour mon amie, je le veux, elle était vivante de joie, je veux lui rendre hommage, en continuant d'aimer la vie.

Où que tu sois Dorine, je sais que tu n'aimerais pas me voir pleurer, tu me dirais la vie continue, Val, alors "Vie".
Pour toi et tout ceux qui nous ont quitté, je vais vivre, je te le promet.

Pensée pour Dorine une amie que je viens de perdre accidentellement

L'OUBLI

Dans l'éternité de l'oubli, je m'enfuis,
Je fuis ces heures perdues, qui me tue,
Dans ma destinée je survivrai, blessée,
Nul doute sur ma vie, tout y est gris,
Dans les sillons de l'ennui, vient la nuit,
Je ne vois plus le jour qu'à contre jour,
Sur le fleuve de mes heures, je pleure,
Je survie dans ce monde qui gronde,

Où es le temps charmé, j'ai oubliée,
Toutes mes pensées, empoisonnées,
Plus que de mortels baisers, à donner,
Morceau de vie emprisonné, déchirée,
Je veux t'abandonner, partir, t'oublier,

Je me sens inutile, dans ce monde futile,
A trop vouloir donner, je me suis égarée,
Dans l'abîme d'un regard aux yeux si bleu,
J'ai deversée les plus fous de mes aveux,
Aujourd'hui, ce regard n'est que chimère,
Qu'une illusion de ma sombre imagination,
Le goût amer, de mes heures éphèmeres
Capture tout mon temps, il me glace le sang,

Où es le temps charmé, j'ai oubliée,
Toutes mes pensées, empoisonnées,
Plus que de mortels baisers, à donner,
Morceau de vie emprisonné, déchirée,
Je veux t'abandonner, partir, t'oublier.

Ecrit le 7 Jan 2006 par Liseray

A coeur ouvert

Si ton coeur était un livre, je pourrais alors tourner les pages.
Mais ton coeur n'est pas un livre et je ne peux lire que sur ton visage.
Mais ton visage est fermé et je ne peux voir que les larmes de tes yeux.
Ces larmes qui te brûlent sont un adieu à la vie.

Liseray le 08/06/83

DROGUE

Lorsque vos âmes sombrent dans la mélancolie.
Par jeu ou inconscience, n'achetez pas la mort, à ceux qui par soi-disant bontée veulent vous vous vendre quelques minutes éphémères de faux rêves.

Liseray le 15/02/89

DOUCE PAIX

Douce paix, toi si fragile
Entends-tu au loin gronder le tonnerre.

Pourquoi tant de haine
Sur cette si belle.

Pourquoi faut-il qu'un jour
Par ce foutu pouvoir des hommes

L'orage du genre humain
Brise nos rêves, brise nos vies

Sème au vent tes plus belles saisons
D'un coup d'aile porte l'amour.

Liseray le 05/09/88

LE SOURIRE

C'est une main tendue à tous ceux qui veulent le recevoir.

Un sourire redonne espoir à tous ceux qui n'ont plus foi.

Il est source de force, mais pourtant si silencieux.

Il ne s'achète pas, force de l'âme, il s'offre à la vie.

Il faut de nos sourires, jamais subir de regret.

Mais toujours le partager.

Liseray le 10/03/89

EMOTIONS

Un après-midi solitaire au bord de l'océan, me procurait la tranquillité nécessaire à une solide reprise en main de mes idées, de mes émotions.
Grisée de soleil et de solitude, je fus soudain saisie par une impression de liberté.
La chaleur, l'harmonie tranquille de la crique, le scintillement des eaux calmes, tout concourait à mon bien-être.
Insensiblement, je me mis à tourner sur moi-même, le visage levé vers le ciel, mes pieds nus imprimant leurs empreintes légères dans le sable tiède.
Oublieuse de tout, je dansais sur la grève, heureuse de ma riche moisson de bonheur.
On aurait dit un arbre, une fleur, une femme en crinoline.
Il me suffisait de tendre la main pour récolter à profusion les joyaux délicats de la mer.
Le jour était près de s'achever, le soleil glissait de pales rayons entre les nuages au raz de l'horizon.
Quelle ébauche de couleurs, de nuances.
Je rêvais au bonheur solitaire, de part le vaste monde, aux images poétiques captées sous un ciel radieux des tropiques

Liseray le 26/01/84

La Sybellia des océans,

La Sybellia des océans,
parcourt les mers depuis la nuit des temps,

attention, jeunes moussaillons,
si par malheur vos routes nous croisons,

à nous pirates devrez laisser,
votre navire, trésors et crustacés,

sur une île des mers lointaines,
nous y jeterons votre capitaine,

sans pitié alors nous serons,
de victuailles nous vous détrousserons,

aux requins donnerons ton corps,
si pirate tu ne deviens pas à bord,

beaux trésors tu devras trouver,
pour honorer ton capitaine Liseray,

de belles aventures nous t'offrons,
si tu viens voguer dans nos beaux sillons.

écrit par Liseray le 28/04/05

FEMME-MERE

Une femme s'est levée ce matin pour partir au boulot.
Une femme est rentrée ce midi, exténuée de labeur.
Une femme est partie cette après-midi prise par le fardeau.
Une femme est rentrée ce soir, nulle trace de joie dans ses yeux.
Pourtant elle rit, elle vit, comment cette femme qui après tant de douleur, n'a pas de rancoeur.
Sa jeunesse l'a blessé, le chagrin l'a rongée.
Mais pour qui, pourquoi a-t-elle fait tant d'effort ?
Pourquoi tant de refus dans ses sourires forcés ?
Je sais que cette femme pour vous, n'est qu'une personne banale,
mais pour moi elle tout, celle dont je connais le grand coeur, l'âme pure.
Celle qui fatiguée, mais jamais ne se plaint.
Celle dont je vous parle, je l'aime, je l'adore.
C'est une femme qui n'aura fait que se battre toute sa vie.
Je sais que cette femme se reconnaîtra dans ces mots.
Jamais elle n'avouera sa souffrance, sa lutte pour nous garder.
Oui, pour nous ses quatre filles.
Pour cela je te dis merci, merci du fond du coeur.
Nul ne s'aura combien tu a souffert pour nous.
Mais au lieu de te dire merci, je devrais te demander pardon.
Pardon pour toutes ces années gâchées pour nous, à cause de nous.

Si tu l'a fais me dis-tu souvent :
" C'est pour vous mes filles que je me suis battue, sans relâche. Vous étiez ma raison de vivre ".

Ce à quoi je réponds :
" Aucun Coeur ne sera jamais assez grand pour égaler le tien. Toi qui t'es sacrifiée pour nous. Jamais je ne trouverais les mots assez forts pour te dire combien je t'aime.
Aucun de mes gestes, cadeaux, paroles ne suffiront à effacer tant de souffrance. C'est pour nous que tu a vécu et non pour toi ".

A toi maman

Mille merci, mille pardon

Liseray le 28/08/86

mais que s est beau tous sa
je suis bouge bai

tanker a écrit:: mais que s est beau tous sa
je suis bouge bai

Oui Liseray à le don de l'écriture des poèmes ils sont superbe quand elle les écrit j'a plaisir à les lire !

Flash,

Ange de lumière,
éclaire mes pensées

Nul doute sur me vie,
j'étais, je suis et je serais

Au fond de moi, je crois
une lumière s'est étteinte

Pour qui ?
Pourquoi ?

Pourquoi tant de questions
se posent-elles sur ma vie

Je n'écris pas une prose
seule à moi même je cause

Pourtant nul ne saura jamais
que ces lignes sont en fait un flash

Qui passe, trottine dans ma tête
et qui ne s'en va que lorsque je l'écris

Pourquoi ?
Pourquoi ces mots se bloquent-ils en moi

Alors que sur le papier, ils s'envolent déjà
Cette plume qui file plus vite que mes pensées

Aurait-elle déjà lu le contenu de ma vie ?

Ecrit par Liseray le : 28/08/86

Note de vie

Que la vie est belle, aujourd'hui je chante et danse à la vie, mon corps est vie.
Il est un hymne à l'amour, mes sens se font musique que mes lèvres fredonnent.
Que la vie est douce, berceau de tendresse, mes mains se font caresse.
Elles sont note d'un parfum d'été ensoleillé, mon souffle devient douce brise.
Que la vie est une fête, mes pensées égarées aiment à rêver d'un ciel étoilé.
Elles se font corolles, de bien des mots oubliés, effacés, évaporés et inavoués.
Que la vie est une joie, mon coeur se fait couleur argent d'un bonheur distribué.
Celui-ci joue une douce et discrète mélodie qu'il aimerait vous faire partager.
Que la vie est un bonheur, mes yeux se font miroir sur bien des regards perdus.
Ils se font reflets d'une aquarelle estompée au plus profond de vos mémoires.
Que la vie est un cadeau, mes lèvres, vous offrent ses plus tendres baisers.
Pour que vous ne laissiez au fond de son écrin doré une note oubliée la "vie".

Ecrit par Liseray le 10 Janvier 2007

Oh ! Dame lune

Oh ! Dame lune, éclairez ma chandelle, que celle-ci devienne lumière.
Transformez ce morceau de moi, en feuille de soie
Oh ! Dame lune, donnez moi le droit, d'écrire dans votre ciel tous mes émois
Vous qui êtes étoile dans ce ciel illuminé où vous brillez
Oh ! Dame lune, dites moi pourquoi amour et amitié ne peuvent se concilier.
Laissez moi encore croire à quelques heures de douceur
Oh ! Dame lune, vous dans votre déshabillé doré, vous ne pouvez oublier
Vous savez mieux que quiconque combien il est doux d'aimer.
Oh ! Dame lune, pourquoi ne m'aidez vous pas ce soir, je voudrai tant le revoir
Prenez moi feuille de soie, soufflez moi, portez moi jusqu'à lui
Oh ! Dame lune, à travers le firmament, conduisez moi vers mon bel amant
Pourquoi ne permettez vous pas à deux amants de s'aimer
Oh ! Dame lune, pourquoi nous punissez-vous pour quelques baisers volés
Laissez moi espérer dans ses bras me retrouver, de m'y serrer
Oh ! Dame lune, vous qui aimez vous laissez bercer par le son de mes mots
N''entendez-vous pas dans ce silence de la nuit mon coeur pleurer
Oh ! Dame lune, regardez vers moi, je vous en prie, ne me laissez pas ainsi
Vous à qui je confie tous mes soucis, écoutez-moi une dernière fois
Oh ! Dame lune, pourquoi cet amour nous serait interdit, j'ai besoin de lui
De sa chaleur, de ses baisers, de sa tendresse, de ses caresses
Oh ! Dame lune, cet amour brûlant, je vous le dis nous ne l'avons pas choisi
Pourquoi n'aurions nous pas le droit de laisser nos corps s'abandonner
Oh ! Dame lune, laissez-nous rien que pour une nuit le droit de nous aimer
Si dans ses bras je ne peux rêver, laissez-moi au moins y mourir.

Délicieux amants

Je dessine ton doux visage sur une plage,
- Tu deviens dès lors le sable de mes rivages.
Je dessine une esquisse de ton sourire,
- Je l'imagine au goût délice, sans artifice
Je rêve à tes yeux tendres et amoureux,
- Ils se posent sur moi, tel un souffle d'or
Je rêve d'embrasser tes lèvres tendresse,
- Elles se font pour moi douce senteur d'été
Je devine tes baisers caressant mes lèvres,
- Ils sont passion, frisson, doux et chanson
Je devine tes mains velour glissant sur ma peau
- Elles sont furtives, volupté, source d'envie
J'entends ton coeur battre au rythme du mien
- Il s'offre au mien, accord comblé de désir
J'entends tes murmures envahir mon esprit
- Ils deviennent mots, joyaux, enchanteurs
Je vois deux corps qui s'enroulent, vibrent
- Ils sont mouillés d'étreintes passionnées
Je vois nos regards brillant de milles feux
- Ils sont à la fois sortilège et envoûtement
Je sens nos corps dévêtu, s'entremêler, s'exciter
- Ils sont électrisé d'exaltation, impatients
Le summum de notre plaisir ultime étant atteint
- Nous nous accorderons un repos bien mérité
Dans cette douce nuit d'ivresse, nous n'aurons
- De cesse de vouloir toujours recommencer.